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Résidant désormais une bonne partie de son temps à Bangkok, Matteo travaille actuellement à des projets en France, en Thaïlande et en Inde. Matteo, pourrait-on titrer ton portrait : Les lumières de la ville? Ce choix a ouvert des portes sur de nouvelles manières de voir la ville. Les villes, on nous les impose quand on naît.
Le citoyen a un rapport avec la lumière qui est assez maladroit. La conscience de la lumière depuis Thomas Edison a beaucoup changé. Par le passé, les lumières des villes scintillaient, miroitaient, elles provenaient de bougies, de lampes à huile, à gaz.
Les murs de ces anciennes villes parlaient. On a beaucoup perdu ça et on est en train de se rendre compte que la lumière peut prendre une grande place dans une ville. Mais ils ne sont pas encore prêts.
Mais il y a un résultat et nous ne sommes pas nombreux à avoir la chance de toucher cet art. Je pense que ça aide les villes à vivre mieux. Tu parles de sculptures pour définir tes installations?
Depuis des années, je fais donc des cocons lumineux. Je pense que si tu apprivoises la personne, si tu la motives à vivre une expérience dans un endroit où elle se sente chez elle, elle la vivra obligatoirement mieux et elle sera beaucoup plus prête à recevoir. Avant toute chose je raconte des histoires.
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Je fais très attention à ces choses-là. On ne savait pas trop quoi faire brûler les graisses pantip infini ces grandes tours au milieu de bâtiments beaucoup plus petits. Je suis alors parti sur le principe de découper de petites bandes représentant un rythme cardiaque. Je travaille beaucoup là-dessus.
Tu prends une lumière verte et une lumière bleue et tu soignes un enfant de la jaunisse. Grâce à lui, on arrive à vraiment comprendre les réactions du cerveau en fonctions des stimuli lumineux. Lors de mon enfance, en Espagne, je fuguais pour aller au Prado et je passais des heures à regarder le Jardin des délices, de Bosch.
Ce surréalisme était à cette époque complètement improbable, mais en même temps on sentait une vraie déchirure dans son travail, avec toujours une forme de romantisme au niveau des couleurs.
Ce rapport communautaire dans une débauche fraternelle, à un moment donné, ça me fatiguait.